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dc.contributorDe Clercq, Camille
dc.contributorDe Roy, Judy
dc.contributorFontaine, Laurent
dc.contributor.authorPatigny, Géraldine
dc.coverage.spatialLow Countriesen_US
dc.coverage.spatialEuropeen_US
dc.coverage.temporal17th centuryen_US
dc.date2024-06
dc.date.accessioned2024-06-21T15:09:38Z
dc.date.available2024-06-21T15:09:38Z
dc.identifier.citationGéraldine Patigny, Une odyssée baroque : les du Quesnoy et la sculpture à Bruxelles au XVIIe siècle (Bruxelles : Institut royal du Patrimoine artistique, 2024)en_US
dc.identifier.isbn978-2-930054-45-2
dc.identifier.otherhttps://balat.kikirpa.be/document/541582
dc.identifier.urihttps://orfeo.belnet.be/handle/internal/13349
dc.descriptionLa dynastie du Quesnoy est constituée de Jérôme le Vieux (Béthune, ca 1570-Bruxelles, 1650), arrivé à Bruxelles en 1594, et de ses deux fils : François (Bruxelles, 1597-Livourne, 1643) et Jérôme le Jeune (Bruxelles, 1602-Gand, 1654). Néanmoins, seuls la vie et l’œuvre de François du Quesnoy, qui avait connu à Rome une brillante carrière, avaient fait l’objet d’études approfondies. La condamnation au bûcher de Jérôme le Jeune en 1654 avait entraîné dans son sillage la considération que la critique aurait pu porter à son œuvre. Ce dernier avait pourtant lui aussi connu une importante ascension sociale et artistique, en devenant le sculpteur, statuaire et architecte de la cour de Léopold Guillaume (1647-1656), alors gouverneur des anciens Pays-Bas. Cet ouvrage étudie sous un angle neuf la biographie et la production de Jérôme le Vieux et de Jérôme le Jeune. Les questionnements qui accompagnent cette recherche portent autant sur le dynamisme et le contexte de la sculpture bruxelloise durant la première moitié du XVIIe siècle, que sur l’existence d’une transmission intergénérationnelle au sein de l’atelier. L’analyse des sculptures du catalogue tend, une fois dégagée des présupposés largement diffusés à travers l’histoire de la sculpture flamande, à présenter de manière inédite les apports et l’originalité de cet atelier. Ces apports avaient en effet été occultés d’une part, par l’importante contribution de François du Quesnoy et, d’autre part, par celle, non moins importante, de Rubens, envisagé par beaucoup comme l’unique fondateur de l’art baroque flamand. Ce travail fournit également le premier catalogue raisonné des deux artistes.en_US
dc.languagefraen_US
dc.publisherInstitut royal du Patrimoine artistiqueen_US
dc.relation.ispartofseriesScientia Artisen_US
dc.titleUne odyssée baroque : les du Quesnoy et la sculpture à Bruxelles au XVIIe siècleen_US
dc.typeBooken_US
dc.subject.frascatiSocial sciencesen_US
dc.subject.frascatiHumanitiesen_US
dc.subject.frascatiHistory and Archaeologyen_US
dc.subject.frascatiArtsen_US
dc.audienceScientificen_US
dc.audienceEducationalen_US
dc.audienceGeneral Publicen_US
Orfeo.peerreviewedNot pertinenten_US
dc.identifier.publisherlinkhttps://www.kikirpa.be/fr/publications/une-odyss%C3%A9e-baroque
dc.identifier.publisherlinkhttps://www.brepols.net/products/IS-9782930054452-1


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