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dc.contributorVerhaeghe, Frans
dc.contributorStabel, Peter
dc.contributorCastex, Dominique
dc.contributorSanting, Catrien
dc.contributorAlexandre-Bidon, Danièle
dc.contributorPolet, Caroline
dc.contributorde Waha, Michel
dc.contributorTys, Dries
dc.contributorMinsaer, Karen
dc.contributorDauven, Els
dc.contributorAnnaert, Rica
dc.contributorVerslype, Laurent
dc.contributorTreffort, Cécile
dc.contributorVanhemelryck, Fernand
dc.contributorKupper, Jean-Louis
dc.contributorMeijns, Brigitte
dc.contributorVan Belle, Ronald
dc.contributorDe Witte, Hubert
dc.contributorMignot, Philippe
dc.contributorTrio, Paul
dc.contributorCavagna, Mattia
dc.contributorDekeyzer, Brigitte
dc.contributorvan Bueren, Truus
dc.contributor.authorBalace, Sophie
dc.contributor.authorDe Poorter, Alexandra
dc.contributor.editorKoninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis
dc.coverage.spatialNord-ouest de l'Europeen_US
dc.coverage.temporal600-1600en_US
dc.date2010
dc.date.accessioned2023-09-28T12:07:55Z
dc.date.available2023-09-28T12:07:55Z
dc.identifier.isbn9789061539599
dc.identifier.urihttps://orfeo.belnet.be/handle/internal/11095
dc.descriptionLa mort : nul n’y échappe ! Mais la manière dont on l’approche peut varier du tout au tout selon le lieu ou l’époque. Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui la considèrent comme une fin définitive; chacun espère qu’elle se fera aussi discrète que possible : on rend son dernier souffle à l’hôpital et les inhumations se font à la périphérie des villes et des villages. Au Moyen Âge, il en allait tout autrement. La mort était alors bien plus présente, surtout, cela va sans dire, en période d’épidémie, de famine ou de guerre. Il était alors d’usage de mourir chez soi, au sein de l’étroit cercle familial et les cimetières s’affichaient en plein coeur du village, autour de l’église. Pour l’homme médiéval, le trépas n’était en rien une fin définitive : au jour du Jugement dernier, les morts allaient sortir de leur tombe et entamer leur vie éternelle, dans un nouveau corps sublimé ; les bons au Paradis, les mauvais en Enfer, et les médiocres, c’est-à-dire la majorité, allaient devoir patienter sur la montagne du Purgatoire de Dante. “Entre Paradis et Enfer. Mourir au Moyen Âge” retrace la manière dont la mort était perçue, en Europe du nord-ouest, entre 600 et 1600. Les peintures, sculptures, miniatures et monuments funéraires reproduits dans ce catalogue illustrent les craintes et les attentes de l’homme médiéval, auquel les memento mori rappelaient inexorablement le caractère inéluctable de la destinée humaine : “Souviens-toi que tu es mortel et regarde-toi régulièrement dans un miroir”.en_US
dc.languagefraen_US
dc.publisherFonds Mercatoren_US
dc.titleEntre Paradis et Enfer. Mourir au Moyen Âgeen_US
dc.typeCatalogen_US
dc.subject.frascatiHistory and Archaeologyen_US
dc.audienceGeneral Publicen_US
dc.subject.freeArs Moriendi, la peste, livres d'heuresen_US
dc.source.issueAccompagne l’exposition éponyme aux Musées royaux d’Art et d’Histoire de Belgique, Bruxelles (3 décembre 2010 – 24 avril 2011)en_US
Orfeo.peerreviewedNot pertinenten_US


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